L e Kampony Club est un groupe de jeunes musiciens guinéens basé à Conakry. Il tire son nom du village de Kampony situé au nord-ouest du pays, berceau d’une partie de la famille Kouyaté dont le talent est reconnu depuis des siècles par delà les frontières du pays.
Composé de Karamba, Bambo, Dembo, Bouba, Guèmè & Rasta, tous KOUYATé, ces éminents artistes conteurs et poètes, descendants d’une des plus anciennes lignées de griots, se produisent régulièrement sur les scènes du monde entier, que ce soit en Afrique, en Europe, en Asie, en Amérique du Nord et du Sud. Parmi les grandes figures que ce village a vu naître, on pourra citer notamment Feu Elaj Mamadou Benté Kouyaté, Moh Kouyaté, Adama Kouyaté, plus récemment Petit Kandia.
Le jeune Kampony Club s’exprime lui par un exquis mélange d’instruments traditionnels et modernes.Il se plait en effet à mêler balafon et batterie, guitare acoustique et électrique, guitare basse et calebasse, djembé et clavier, ngoni et shaker brésilien… et tout autre instrument qui lui passe sous la main ! (le ngoni est une forme de luth traditionnel ayant jusqu’à huit cordes) Le chant est assuré dans diverses langues nationales guinéennes, telles que le diakhanké, le soussou, le malinké et le peulh. Depuis quelques mois, Pierre Pinat, français rebaptisé Guèmè Kouyaté, amoureux de l’Afrique de l’ouest et de ses cultures, les a rejoint avec son shaker et participe à ce projet musical en apportant aux chants une touche de français, d’anglais et d’espagnol.
– en voiture :par l’autoroute du Sud jusqu’à Lyon puis l’A8 prendre ensuite direction le plateau de Valensol par Sisteron et Digne les Bains
– en train: par la SNCF depuis la Gare de Lyon jusqu’à Digne les Bains (c’est un bus de la SNCF entre Aix en Provence et Digne les Bains) puis le Chemin de Fer de Provence jusqu’à Annot
Se libérer de ses douleurs, de ses tensions & se vivre du plus profond de soi sans contrainte, sans mentalisation : c’est ce que vous propose Maude Lamban.
Pour vibrer et vivre son émotion le plus intensément possible source de vitalité, Maude vous invite à lâcher priser dans le mouvement qui naît du quotidien des femmes d’Afrique & à vous recentrer sur des postures de base du quotidien de ces femmes avec qui elle vit depuis plus de 10 ans.
Aux vibrations de la kora sur l’impulse des dum, votre corps dansera au tempo de votre voix que vous serez amené à entonner.
Les mouvements dansés initieront les danses que Malé Swê vous invitera à vivre & des objets du quotidien comme le foulard et le pilon vous seront, éventuellement, proposés pour danser avec…..
L’atelier se finira par une chorégraphie en danse contemporaine & un atelier d’improvisation…
Vous n’êtes plus ici, vous n’êtes plus là bas, vous n’êtes plus ailleurs : vous êtes en vous !
Osez vous, lâchez vous!
DANSES CULTURELLE MANDINGUES TRADI-MODERNES avec Mâlé Swé :
Danseur, chorégraphe, musicien, acteur et directeur artistique de la troupe tradimoderne « Fatala« , Malé Swên’a qu’une seule ambition,une seule préoccupation : vous libérez et vous donner l’envie de vous aimer en vous partageant sa culture d’origine: le Manding en général, le Sosso en particulier ! N’est pas Sosso, celui qui n’est pas amoureux de « soi-même » pour une humanité unie et sans frontière!
Originaire de Boffa (Guinée), Mâlé Swé vous invitera à vivre ses rythmes culturelle, à les chanter pour entrer dans la danse et faire vibrer votre âme tantôt guerrière, tantôt de séduction pour tout simplement être dans votre joie de vivre.
De ces danses originellement métissées, Malé vous invitera à les vivre sur des pas originaux et vous amènera à puiser votre âme des temps modernes sur des sonorités actuelles pour vous sentir vivre tout simplement….
Aussi depuis une danse culturelle, vous serez immergé dans l’histoire de la danse en apprenant son rythme, son contexte et le chant. L’atelier se terminera pas une chorégraphie tradimoderne dont seul Malé a le SWING…
Parce que la danse est la parole de l’âme, nous n’avons plus rien à dire & tout à vous faire découvrir!
Plus d’info: +33 7 58 38 25 49/ traidunion.diff@gmail.com
PS: Les stagiaires accompagnés d’enfants sont bienvenus… SI vous nous prévenez en avance pour mettre en place une organisation…
TOUT NIVEAU – TOUT AGE :
Quelque soit votre niveau (débutant sans expérience accepté), venez découvrir (ou redécouvrir) avec nous, le bien être apporté par les danses mandingues lors de cette journée complètement dingue!
En Afrique, les « vieux » dansent avec les « jeunes », les expérimentés avec les novices: la technicité est à votre expérience, ce que la performance est à votre capacité corporelle. Les expérimentés aimeront aider et donner leur expérience aux novices.
Alors n’hésitez plus et lancez vous dans l’expérience pour vibrer avec nous!
GRASSE PLATEAU DE LA MALLE – LE PLONGEOIR :
Situé dans la région dijonnaise, le Plateau de Chenove est un lieu calme et relaxant. Il vous émerveillera et vous assurera naturellement une vraie relaxation.
Le stage aura lieu au dessus à La Maison du Plateau au dessus de Chenôve village (21300)
Un Village au Coeur de la Guinée-Bissau & de son histoire
D’après les propos recueillis de
Mario CISSOKO {Historien, Ethnologue, Anthropologue, Archéologue linguistique, Consultant à l’UNESCO – Bissau – Guinée Bissau}
& Moutaro DJABATE, chef du village & Maître de la Parole de Tabatô.
Tabatô, village agricole de Griots (cf. page Culture/article Manden), est situé au coeur de la Guinée Bissau, sur la commune de Bafàta, à 30km de Gabù, où est née la Légende de la Kora. Mbady Diabaté (fondateur de l’association Traid’Union), le Vieux Mbady Kouyaté (Griot Koriste -actuel « Père vivant » de la Kora) & le père de Ba Cissoko (Artiste musicien reconnu internationalement) sont originaires de ce village.
Tabatô est un musée dynamique qui a naturellement scellé les unités entre les différents peuples, rois & colonisateurs de la région. Mario Cissoko dira que « l’histoire de la sous-région se lit dans la généalogie de Tabatô.«
Voici la carte présentant l’itinéraire entre Nice (France – Sud Est -06) & Tabatô (Guinée Bissau – Centre) (Itinéraire)
Boudounka Ibrahim Djabaté: 1er Griot fondateur de Tabatô, originaire du Boundou
Il y a 5 siècles (vers 1500), le Griot Boudounka Ibrahim Diabaté, ressortissant du Boudoun Fouda, vient s’installer à Tabatô, en y amenant le Kamali N’goni. Il était originaire du Badyar, région de Kundara (actuelle région de Boké de la Rep. de Guinée). En tant que Griot « pacificateur », Boudounka fit trancher la dynastie des Mballo.
Le Boundou(cf. page Culture/ article Mandèn) est une ancienne région d’Afrique de l’Ouest, né dans dans la Haute-Antiquité, regroupant les actuels pays suivants: Sénégal, Guinée, Sierra Léone, Libéria, Mali, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Gambie & la Guinée Bissau. Dans le Boundou coexistaient différents peuples de cultures différentes: la région de Gabù (qui allait jusqu’à Bafàta – 15 km à l’Ouest de Tabatô – frontalier avec l’Empire de Gambie) en était l’épicentre & a essaimé les pays limitrophes culturellement. Les peuples du Boundou se sont métissés aux autres par la confiance & la rencontre avec les autres peuples.
De l’origine de Tabatô à aujourd’hui: légende & réalités.
Boudounka Ibrahim Djabaté est l’ancêtre direct de Moutaro Djabaté, actuel chef de village de Tabatô, Maître de la Parole, acteur principal du film « La Bataille de Tabatô » & père de Mbady Diabaté.
Moutaro Djabaté nous conta en mandingo (un des dialectes mandingues, assez répandu chez les Griots) la légende de la création du Village de Tabatô & son histoire contemporaine, qui nous a été traduite par son 3ème fils, Mbady.
« A son arrivé à Bafata, le roi Yorobili, du village de Dardun, reçut le griot Budunka, et l’installa au village de Brincasse, à 2 km de l’actuel village de Tabatô. Voyant qu’il devait avoir une culture similaire voire commune avec les « diables » qui jouaient le balafon et le n’goni dans la forêt sacré de Tabatô, il lui demanda d’aller y vivre.
Emportant son n’goni et un « dum » (gros tambour qui se joue avec une baguette incurvée à bout rond et plat) , le Griot Boudounka s’y renda et se trouva en compagnie des diables: il leurs lança son n’goni. Dans la nuit, le griot rêva que les diables lui expliquèrent comment fabriquer un balafon. Le matin, au réveil, Boudounka alla fabriquer son balafon et l’accorda avec le n’goni. Puis il reparti voir le roi Yorobili avec ses instruments accordés. A cette époque, chaque ville avait son roi, et Boudounka alla de ville en ville chanter et jouer des louanges. Il eut tellement de succès qu’il reçu beaucoup d’animaux en don, et créa le Village de Tabatô, village agricole. Boudounka eut 3 fils : l’aîné est Bayali (Djali Coly) ; le cadet, Yaya ; le germain, Ansouman. Yaya est né à Fula Muri; il est l’homonyme d’Alpha Yaya Diallo, Roi Peul du Fouta.
Au Temps de la colonisation, les griots continuèrent à jouer pour les préfets et les ministres. Moutaro & Ansouman, son frère, partirent au Portugal pour représenter la culture du Manding de Bissau. Grâce à cela, le village de Tabatô fut reconnu Village représentatif de la culture mandingue de la Guinè-Bissau.
Après la colonisation, le parti démocrate PAIGC vint au pouvoir et s’est rapproché de Tabatô. Les Nations-Unies ont financé la construction d’une Maison de la Musique qui fut ensuite détruite durant la guerre des années 1990. Avant la guerre, près de 300 occidentaux venaient annuellement visiter le village de Tabatô et son mode de vie ancestral d’art, d’artisanat et agricole.
Dans les années 2010, Mourato Djabaté créa un festival à Tabatô, pour la diffusion, la promotion de la culture mandingue dans le monde. Il partit en Chine, en Corée, au Canada.
En 2012, par le biais de l’aide EuropAid, l’Europe devait financer la reconstruction de l’Ecole de Musique de Tabatô. Mais le Coup d’Etat arrêta momentanément le projet.
En 2013, la réalisateur portugais Joao Viana produit le film « La Bataille de Tabatô, participant au Festival du Film Africain au Maroc, Khourigba.
Nous avons posé quelques questions à Moutaro Djabaté sur l’organisation & le mode de vie de Tabatô. Voici ses réponses.
Pourquoi, malgré la précarité et la souffrance du quotidien par manque de moyens matériels, il règne une atmosphère de bien-être, de vie heureuse à Tabatô ?
Selon Moutaro Djabaté,
« les gens y sont biens car cela fait des générations que ce sont les mêmes familles qui habitent & vivent ensemble. Ce sont les descendants directs des bâtisseurs de Tabatô, de ceux qui ont donné la valeur de la culture du Manding à la Guinè-Bissau. »
D’ailleurs Mario Cissoko définit la Gérontocratie comme un modèle d’organisation de société
« plus évoluée que la démocratie grâce à la perpétuation naturelle de la paix par le tissage des liens familiaux. Elle apporte des réponses, des solutions de paix. Il n’y a pas de jalousie, ni de compétition possible dans la mesure où les familles se donnent les unes aux autres leurs qualités, leurs compétences naturelles. »
Moutaro Djabaté continue à nous expliquer que
« La philosophie de vie des griots est de donner sans attente de retour, de contre partie quelque ce soit (lucratif ou non). La tradition raconte que les peuls fuirent les griots du pays de Gabù. La coutume veut que si les griots chantent et jouent des louanges à une communauté, un rassemblement, alors ils doivent recevoir en retour une vache, une chèvre, ou une plantation, car son autre devoir est d’assurer le vivrier alimentaire du peuple et du royaume. Or les peuls ne donnèrent rien et les griots continuèrent de jouer et chanter pour eux. Les peuls eurent hontes de leur propre égoïsme et fuirent leur trop grande bonté. »
Tout le monde au village est artiste et agriculteur. Il y a environ 500 habitants. Chaque famille est propriétaire de sa maison et possède des champs à cultiver, desquels ils doivent tirer leurs revenus pour leur famille.
Le village se concerte pour aider et améliorer la vie des uns et des autres. Par exemple, si une personne rencontre des difficultés pour travailler sa parcelle, ou s’il y a des problèmes sociaux (comportements déviants entre autre), le village se réunit et trouve des solutions.
Le devoir pacificateur des griots fait que la violence ne demeure pas au village. Lors de la colonisation, les violences qui existaient entre les « blancs » et les « noirs » n’entraient pas dans le village, et les griots de Tabatô allaient trancher leurs conflits. Ce qui est aussi vrai pour les autres types de conflits.
Avec l’embargo de 2012, les prix du marché agricole ont été cassés. Le village manque d’avoir une autorisation et des camions pour pourvoir vendre à meilleur prix leur récolte sur le port de Bissau.
Découvrez le Village de Griots Djabaté, le Village de Tabato en Guinée-Bissau en téléchargeant notre PDF ici! Téléchargement Merci! Obrigado! Aniké!
Des changements de programmation d’artistes sont à noter:
« Kimi Djabaté » remplacé par « MAMADU BAIO » (lien: cliquez!),
« Kandia Kora » par « SABOU’ (une partie des « Mandingo Jazz » : Abdoulaye Dembele, Mbady Diabaté, Avi Guedalia) (lien: cliquez!).
Abdoulaye Dembele - Balafoniste
Stage Balafon – 27/09 – 11h 13h – La Farigoule
Griot du Burkina-Faso, Abdouaye évolue sur les scènes françaises et internationales depuis 2000. Multi-instrumentistes (percussions, balafon, kora, n’goni), Abdoulaye sera d’abord recruté dans la troupe nationale du Burkina Faso à l’âge de 13 ans; puis ils créera 2 albums: Dounia en 2002 & Borokuy Anou en 2005. De même il crée la troupe « Sinikan ». Il participe à des festivals de Jazz à New-York, Vienne & Avignon.
Mbady Diabaté - Chanteur & Koriste
Stage Kora – 26/09 – 9h 11h – La Farigoule
Héritier griot par 2 lignées (Kouyaté & Diabaté), Mbady Diabaté est formé à la kora par l’actuel père vivant de cet instrument emblématique de la culture manding, Mbady Kouyaté. Il évolue à Conakry avec son groupe formé de 6 de ses frères griots « Les aigles du manding » et depuis 2012 en France auprès d’artistes tels que Badou & le watt au Nice Jazz Off Festival, Lamine Cissokho, Ba Cissoko…..
Kimi Djabaté - Chanteur & Balafoniste
Concert « La Zonmé » – 25/09 – 21h
remplacé par MAMADU BAIO DIABATE (son frère)
Griot, originaire de Tabato (Guinée Bissau), tel que le Vieux Mbady Kouyaté, Kimintan Djabaté évolue depuis 2000 en Europe (avec la Troupe National de Bissau) puis au Portugal (Libonne). Il collabora auprès de Mory Kanté et Waldemar Batos. Il fit un 1er album ‘Tériké » en 2005 et son 2nd en 2009 « Karam » (label Cumbancha). Sa musique est inspirée des rythmes & danses bissagais traditionnels (mandingo, gumbé) , de l’afrobeat nigérian & du morna cap verdien. Ses paroles revendiquent la liberté des peuples, & les droits des femmes, appellent à l’amour & la paix humains, & dénoncent la pauvreté.
Avi Guedalia - Percussioniste
Stage percussions – 26/09 – 11h 13h – Maison des Asso Cessole
/ Formé par des maîtres d’Afrique, Avi Guedalia accompagne & anime depuis 2005 des stages et ateliers de danses africaines en France.
Kandia Kora - Chanteur & Koriste
Concert « Le Jam » – 26/09 – 21h30
Remplacé par Sabou (Abdoulaye Dembele, Mbady Diabaté, Avi Guedalia)
Fils du Vieux Mbady Kouyaté (koriste soliste & ex-Directeur de l’Ensemble Instrumental de Guinée), Sory Kandia Kouyaté est un jeune virtuose né de la Rép. de Guinée. Il développe les sonorités de la Kora sur les rythmes reggae, afrobeat & hip hop. Fort d’une carrière prometteuse, l’ex-koriste des « Espoirs de Coronthie » évolue depuis 2007 auprès d’artistes reconnus et renommés tels que « Salif Keita », « Tiken Jah Fakoly », « Ba Cissoko » ou encore « Jean Louis Aubert ». Il est l’auteur comositeur et interprète de la chanson à but humanitaire « STOP EBOLA » dont les bénéfices sont reversés à l’ONG Médecins Sans Frontières. Il remporta les Guinée Awards en 2014 suite à la sortie de son glorieux 1er Album.
A. Théodora Penda - Conteuse / Cameroun
Village du Griot Eco-Métisse – 26/09 – 16h30 – Nice Nord
En 2013, Théodora Penda, originaire du Cameroun, publie un livre de contes pour enfants « les incroyables voyages de P’â Koulè », suite à la mise en place d’un projet littéraire avec les élèves de primaire (CE1/CE2). L’oeuvre est à la fois imaginaire et pédagogique. Ces histoires sensibilisent les enfants à la notion de la préservation des espèces et de la nature des forêts protégées du Cameroun. Certaines sont classées patrimoines mondiaux de l’humanité. En 2015, un de ses élèves a reçu le prix départemental des Palmes Académiques « défense et illustration de la langue française », dans le cadre d’un concours littéraire.
Originaire de Côte d’Ivoire, Oumar début sa carrière dans la Cie Kora et avec Moussa Sidibé. Puis il collabora avec Merlin Nyakam, Georges Momboye & Alphonse Tierou. Il joua dans le film « Roue Libre ». Son travail s’applique à la précision des pas, la libération des mouvements dansés avec fluidité & rapidité, pour approfondir le tempo.
Enseignante à Saint Laurent du Var & Nice, Christelle SAMBA d’origine afro antillaise enseigne le Ragga Dancehall depuis 2009 & africaines depuis 2010. Passionnée par les danses urbaines autant que celles du monde, elle a su au fil des années en faire sa spécialité en y apportant son style et son écriture chorégraphique.
Fodé Finando Camara - danseur
Initiation danse africaines de Guinée – 15h 17h –
Maison Asso Gimelle
remplacé par Aly MBAYE (cf. Afrika Bakk)
Initiation danses trad de Guinée – 26/09- 15h 17h – Fodé Finando CAMARA s’est formé aux danses traidtionnelles & contemporaines africaines en Guinée (Compagnie Amoussou – Conakry) & au Sénégal (Ecole des Sables de Germaine Acogny). Très expressif, il saura vous initier aux rythmes & mouvements issu du mandingue, avec énergie & souplesse.
Afrika Bakk - groupe de musique
La Zonmé – 25/09 – 21h
Vendredi 25/09 – 21H – LA ZONME – Composé d’Aly MBAYE, Malick NDAYE & Mbady DIABATE en musiciens, le groupe de musique niçois « AFRIKA BAKK » vous propose une musique d’inspiration africaine où seront métissées les couleurs & chaleurs de l’Afrique & des Antilles. Ambiance presque assurée….
« Préservons l’éducation sociale et artistique transmis oralement par les Griots, et luttons contre Ebola, pour le civisme et la santé de nos enfants »
En hommage à M’Bady Kouyaté, solo Koriste des Ensembles Instrumentales de Guinée.
En mémoire à Nelson Mandela (1918 -2014)
11 ans que l’association « Kora Folla » promeut la musique internationale des instruments à cordes, par le biais du Festival International de Musique « Kora & cordes ». Non seulement de promouvoir la KORA, instrument emblématique du Manden (manding), nous souhaitons faire converger & rencontrer les instruments à cordes existant dans le monde. Le festival a depuis sa création, invité des artistes venant d’Afrique, de France, du Maghreb, des Etats-Unis….et fait rencontrer la Kora avec la guitare, le violon, le wud, la harpe.